Fais attention à Toi aussi [PV Jada]

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Le professeur esquiva la question de ses raisons. Jada pouvait bien
être intrigué, peu importe, il n'allait pas lui avouer qu'il l'ai...
l'appréciait... Oui, voilà. C'était normal de rendre service... Bien
que Gabriel ait d'autres raisons, comme la folie d'un de ses sentiments.

Lorsque l'assassin l'embrassa sur la main, il eut un petit sourire, bien plus joyeux. Mais pourquoi le remercier? Après tout il n'avait encore rien fait... Enfin...

"De... De rien."

Chose pratiquement impossible, sa voix trembla légèrement. Il désirait Jada Uffe. Maintenant. Immédiatement, il voulait être seul avec lui et en prendre soin.

Les couloirs de service et autres passages inconnus des clients étaient un réseau aussi complexe qu'efficace, pour ceux qui voulaient se rendre quelque part rapidement. C'est ainsi que le sensei fit entrer Jada dans une des chambres cinq étoiles, impeccable et avec un mini-bar bien fourni.

A peine la porte fut fermée, il plaqua, avec toute la douceur du monde, son cadet contre le mur et l'embrassa, sur la bouche. Ce baiser avait tout de la passion et rien de la raison, c'était un besoin presque aussi irrésistible que ce qu'il avait produit chez Uffe avec la drogue. Pourtant, il n'en avait pas pris... C'était un désir naturel qui l'animait.

Lorsque leurs bouches se délièrent enfin, il lui murmura à l'oreille, se mordant la lèvre de temps en temps :

"Tu n'as pas besoins de soins? Tu vas avoir besoin d'un verre, sans doute. Je m'en charge dans un instant..."

Comme pour vérifier, il commença à enlever les vêtements de Jada. Il voulait le voir, le toucher, peu importe son aspect. Quel homme magnifique. Ensuite, il ajouta, se collant à lui et lui léchant doucement l'oreille :

"Dis-moi ce qui pourrait te faire plaisir..."

Oh, il était prêt à aller très loin pour lui faire ce plaisir.

Jada suivit dans ses couloirs Gabriel calmement, un peut perdu dans ses pensés. Il ne savait pas vraiment quoi penser n ‘y ou se mettre. Il avait besoin d’accéder à la demande de celui-ci. être avec Gabriel l’adoucissait, le rendait docile.
Ces couloirs, il ne les connaissaient pas. Bien pratique. Mais c’était pas le moment de penser a de tel chose. Il regardait le corps de cet homme qui l’avait attiré au premier regard.
Quand enfin ils rentèrent dans la chambre Jada ne faisait pas attention a celle-ci il ne quittait pas des yeux gabriel.

"Et maint…"

Il n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il se retrouva coller contre le mure et embrasser avec une envie qui l’excita. Il prit dans ses mains les visages de Gabriel, il répondait avec envie à se contacte délicieux.
Quand Gabriel tom pu le baisé Jada tenta de reconquérir ces lèvres qui lui faisaient envie.

"Je… se suis aller à l’hôpital ne t’inquiète pas…"

Il l’enlaça pour le garder prêt de lui. Et sentir sa chaleur, la chaleur de celui qui voulait protéger. Il le laissa le déshabille tranquillement. Il n’avait pas su lui refuser d’être seule avec lui. Il ne pouvait pas non plus lui refusait de se retrouver nu devant lui.

"Reste près de moi…"

Il l’avait formulé… il l’avait dit le gardait et de lui. Il se senti rougir. Que lui arrivait il? Il éloigna un peut de lui.

"Je suis désolé Gabriel…"

Il mit sa main au niveau de son front sa tête tournait. Il caressa le visage de Gabriel et lui sourit.

"Tu m’as déjà fais très plaisir."

Alors qu’il tentait de se calmer il regarda Gabriel et l’embrassa avec envie. Il répondait à ses pulsions et il voulait cet homme.

Jada était un peut perdu. Gabriel prenait soin de lui, mais il était un client ou plus? Jada ne savait pas vraiment ce que Gabriel avait dans la tête, mais il ne pouvait se permettre de dépenser pour le moment, et son corps était pas en état de faire des folies.

Continuer à lui faire plaisir? L’invité Jada le regarda sans rien dire. Pourquoi faisait il tout ça? Gabriel ne comprenait pas que rester prêt de lui était dangereux. Il se sentait mal de laissé les choses telle qu’elle évoluaient.

Le torse de Jada était couver de bleu, résulta de coup de pieds ou de club de golf. On lui avait conseillé de rester à l’hôpital, pourtant il avait préféré cette homme qu’il n’avait vu qu’une fois. Et sans rien dire il le suivit pour aller sur le lit. Cet homme blottit conte lui il se sentait si bien comme ça même si son corps le faisait souffrir.

Les caresses de ses hommes étaient bien plus agréable que n’importe quel massage fait par professionnel, à ses yeux. Jada serra son étreinte sur gabriel. Faire de lui ce qu’il voulait… être appelé par son prénom… il prit le visage de Gabriel et l’embrassa.

"Gabriel, merci de faire tout ça pour le client que je suis. Mais comprenez que malgré mes envies... Je me sens coupable."

Il allongea Gabriel sur le dos et embrassa son torse. Sa respiration était saccadé gêné pas les nombreuse blessures.

"Mais je ne peux pas vous laissez vous faire du tord par ma faute."

Il captura ses lèvres pour les combler d’attention, jouant avec la langue de celui-ci il prouvait que ça devait plus qu’un hôte pour lui. Mais il le savait il devait vite partir.

"Je… je ne suis pas sur que mon corps suivra… et je ne veux pas te faire du tord. Nous devons être raisonnable. Je ne suis pas maître de mes actes."

Jada voulait que Gabriel comprenne que Jada pourrait un jour devenir son meurtrier. Et que ça pouvait le rendre très malheureux si il s’obstiné a "attaché émotionnellement à lui.

Il n’était pas un client? Jada le regarda avec un petit sourire discret. Comme il était bon avec lui. Il était si rare que ce genre de caresse soit gratuite.

"Gabriel…"

Il ne prenait pas compte de ce qu’il était capable de faire. Il regardait cet être qu’il avait envie de combler de plaisir. Qu’elle étrange situation dans laquel il c’était mis. Il était stupide de le laisser prendre possession de lui.
D’une de ses mains il caressa l’entre jambe de celui-ci a travers le tissu. C’était plus fort que lui malgré tout le voir avoir du plaisir.

Si il le tuerait? C’était fort probable. C’était les raisons qui pouvait varier. Il se pencha pour lui murmurer sa réponse.

"Oui si je devais-je te tuerais… mais pas si on me l’ordonne… je ne pourrais te tuer que si tu me trahi… tu t’es rendu important…a mes yeux… je te déteste pour ça…"

Il l’embrassa avec envie. Oui Gabriel comptait maintenant pour Jada il avait encore se cœur qu’on lui avait interdit d’utiliser. Mais c’était plus fort que lui il devait l’utiliser et être touché par des personne comme gabriel.

Son patron? Le tuer. Le corps de Jada trembla à cette idée. Être libre? voler de ses propre ailes… pour faire quoi? C’était ce qu’il voulait mais depuis si longtemps il n’avait pas agit par lui-même.
Il embrassa gabriel.

"Mon patron…. Le voir mort serait une libération… mais ce pourquoi on ma élevé ne servirait plus a rien. Je ne serais plus rien…"

Embrasse avec plaisir. Et le fait passer au dessus de lui.

"Tu es trop conciliant Gabriel. Tu te contant de ma personne je suis touché. Mais que tu me satisfasse me fait très plaisir. Mon corps ne sera pas aussi rapide mais il te demande."

Il lui attrapa le visage pour l’embrasser. Il lui caressa le torse. Épuisé mais débordant d’envie pour le corps de gabriel. Tout semblait simple avec lui.

Être a lui… l’embrasser quand il le désirait, lui faire l’amour quand cela lui plaisait tant se chose qui excitait Jada et le rendait dépendant de cet homme. Ne pas le trahir, une promesse que beaucoup d’homme lui faisait. Il voulait croire en gabriel.

Lui trouver une raison d’être… il trouvait cette idée agréable, faire autre chose que tuer. Rien de plus merveilleux pour lui. Combien de personne avait déjà tué dans sa vie. Trop sûrement, mais pouvait il vraiment faire demie tour maintenant. Une certaine peur lui envahir le cœur, mais il se garda de la montré à gabriel.
Ce contacte, ce corps que c’était bon il sentait son odeur, son excitation montait et Gabriel pouvait très bien le sentir.
Mais ce que lui murmura Gabriel le flatta et toute suis après tout son corps se crispa. Tuer son bosse pour gabriel. Il lui caressa le visage.

"Le tuer pour toi…"

Il l’embrassa sa main trembla légèrement. Il ne savait si il en était capable d’une tel chose. Il caressa avec tendresse.
Gabriel était si doué Jada malgré la douleur se cambra légèrement.

"Je ne suis pas sur…"

Il se redresser un peut et rattrapa le visage de Gabriel pour l’embrasser.

"Là j’ai envie de toi…"

Il lui murmura à l’oreille.

"Tu me donne assez de force pour que je nous fasse sentir très bien tout les deux… je n’ai que toi ne tête."

Jada était tombé sous le charme de cet homme lui qui en avait séduit tant d’autres pour obtenir des information sur thao.
Il se rallongea doucement sur le dos. Il n’avait pas encore la force d’esprit pour arriver a tuer son patron. Mais la il voulait Gabriel rien que lui et maintenant.

"Mon patron mourra un jour… mais toute suite je te veux… Gabriel"

C’est avec une voie sensuel qui dit le mot de son amant, il le voulait, son corps tout entier le demandait. Il avait séduit un homme qui l’avait envoûté à son tour. La vie allait être encore plus difficile pour lui.

Ne t’inquiète pas… dans tes bras je serais toujours bien.

Il l’embrassa il ne pouvait attendre, caressant les fesses de celui-ci, le caressant avec gentil et envie.

Oui je te veux… je te veux…

Oui il le voulait dans ses bras à jamais, ou du moins le plus longtemps qu’il lui était possible. Le garder prêt de lui. Qu’elle bêtise ,mais qu’il adoptait sans aucun remord.

Tuer mon patron serait encore difficile à concevoir.

A ces mots il l’embrassa avec plaisir. Un cadeau qui serait la liberté un plaisir qui le rendait très heureux. Si seulement ce moment ne pouvait jamais s’arrêter. Qu’il puisse rester dans ces bras à jamais.

Tu n’es qu’a moi…

Il l’embrassa.

Déshabille toi que je puisse comblé ce corps que je désire.

Mais alors qu’il était prêt à assouvir ses envie au prêt de son amant. Une personne entra sens frapper et dévisagea Jada. Qui reconnue sans problème cette personne. Il poussa Gabriel sur le coté du lit histoire qu’il soit le plus loin de cette personne.

"Jada tu n’as vraiment aucune honte!
Aucune."

Jada savait très bien que cet homme était charger de le surveillé. Se rappelant l’avoir semé en sortant de l’hôpital. Il attrapa sa veste au sol doucement. Et y sortie son arme pour la pointé sur cet espion.

"Part très vite toi… je ne suis pas d’humeur
Tu es de toute façon trop faible pour répliquer."

A oui il voulait vraiment jouer a ce jeux là? Et bien il allait être servie. sans attendre Jada tira dans le visage de l’homme qui tomba raide.

"Quand je me menace ce n’est pas pour rien crétin."

La douleur de son bras se raviva. Et il lâcha son arme sur le sol. mais si on l'avait retrouvé c'est qu'il ne pouvait pas rester plus longtemps en ce lieu.

Jada se retourna vers Gabriel le pauvre garçon il n’avait pas l’habitude. Il le serra contre lui pour le rassurer.

"Je viens de protéger un de ses hôtes… cela devra lui suffit…"

Il ne pouvait pas le tuer maintenant ce n’était pas possible. Pas toute suite. IL n’allait pas le laissé approcher. Et il n’était pas assez fort pour le faire.

"Pardonne moi de ne pas être assez fort. Je ne peux pas le tuer pour le moment…
pour le moment gabriel. Suit moi."

Il le prit la main avec force et l’entraîna dans la salle de bain. Il ne pouvait pas le laisser dans cet état. Le quitter maintenant il ne le pouvait pas. Et le serrant contre lui il tenta de le rassurer comme il pouvait.

"Gabriel… je tien à toi… je viens de te protégé d’un assassin envoyé pour te tuer. Mais je ne peux pas le tuer pas maintenant comprend moi… tu es le seule homme gabriel.."

Il l’embrassa avec douceur. Il avait toujours envie de lui-même après avoir tué cet homme. Il le garda prés de lui.

"Reste calme, je ne peux pas te quitter maintenant… pas comme ça… je deviendrais dingue de te laissé comme ça."

Il l’embrassa. Pour lui les cadavres était une habitude. Et un mort de plus ne le gênait pas et son envie pour Gabriel dirigeait tout ses actes.

"Laisse moi te rassurer te faire tout oublié encore un peut."

L’embrasse et le cola doucement contre le mure.

« je me débarrasserais du corps. Mais ne dis rien laisse moi le temps de vaincre ma peur… laisse moi du temps je n’y arriverais pas toute suite. »

Hôte ou pas-tu travaille pour lui! Il sera reconnaissant de ce côté-là.

Il le comblait d’attention qui ne lui ressemblait pas. Le préservait d’une vision bien dure quand on en avait pas l’habitude. Gabriel était si sensible à ses yeux, si doux. Jada lui caressa la joue. Le baisé qu’ils échangèrent lui plut car malgré son crime gabriel était toujours là soucieux de son devenir.

Jada lui tenait les hanche ne le quittant pas du regard. Oui il était fou, tuer était une de ses raisons de vivre. Et il ne se voyait pas s’en défaire.

Oui je le sais. Et toi tu es inconscient.

Jada sentait qu’il donnait à cet homme de l’importance a ses yeux. Et que cela il le ressentait. En temps normale c’est a ce moment là qu’il devait fuir. Mais non il resta dans les bras de celui-ci.

Jada l’embrassa dans le coup quand celui-ci lui demanda de le prendre.

Maintenant tu n’aurais plus à encaissé quoi que ce soit.

Il le regarda dans les yeux. Excité par se corps, cet être qui semblait lui appartenir lui qui ne possédait rien. Jada défit son pantalon qu’il laissa glisser au sole. Une fois tout les deux nu. Il embrassa avec tendresse le torse de celui-ci.

Détend toi…

Murmura Jada a l’oreille de gabriel.
Avec douceur il le tourna contre un des murs de la salle de bain ventre contre mur. Il se colla à lui doucement l’enlaçant.
Jada embrassa Gabriel dans le coup et pour l’habituer lui mit un doigt. Il tenait a être le plus doux possible et de ne pas lui faire mal.
Sa main libre caressait le corps de Gabriel puis alors que celui-ci se détendait il luit mis un second doigt. Le comblait de ces simple attentions l’excitait tout autant.

"Pourquoi je tiens tant toi?"

Le merci que lui donna Gabriel représenta beaucoup pour Jada celui-ci reconnaissait et croyait en ses paroles. C’est un sourire serein qui naquis sur le visage de Jada.
Pourtant il y avait dans de chose qui allait les attendre à la sortie de cette salle de bain. Comment sera se future dans lequel il venait de s’engouffrer pour un homme qui faisait battre son cœur d’une façon unique.

La douceur dont faisait preuve Jada pour Gabriel était unique. Personne encore n’avait eu le droit à sa gentillesse enfin en tout cas de cette façon.
Il serra les dents qu’il fit lui-même se constat. Alors c’était lui, non pas encore, non pas possible. Jada une quelque seconde d’absence alors qu’il venait de réaliser la nature de cette relation. Il pouvait approuver ça toute suite. Non pas toute suite, en même temps il le voulait.

C’est les paroles aguichantes de celui qui le firent reprendre ses esprits. Il mit de côté cette pensée négative et embrassa Gabriel dans la nuque. Sa tête se vida quand il entendit son nom, cette voie eu le mérite de lui effacer tout idée négative.
Il retira doucement ses doigts et tout en ménagé son amant il le pénétra. Tout son corps se crispa sentant la chaleur du corps de gabriel.

Il avait l’amour avec de nombreux hommes pour cette fois ça semblait encore plus intense?
Il attrape les hanche de Gabriel et souffla à son oreille:

"Gabriel… je… suis à toi…"

Sur ces mots il commença des mouvementes de va et viens lent pour ne pas blesser son amant. Puis commença à accéléré.
Il prenait soin de le satisfaire entièrement en le pénétrant profondément. Jamais il n’avait fait attention au plaisir de son partenaire à ce point là.
Il se sentait comblé en cet instant. Il prit le temps de caresser le sexe de Gabriel tout en donnant des coup de bassin de plus en plus rapide.

Quelque minute plus tard il jouit en lui se cambrant de plaisir. Très vite il se retira et attrapa une serviette pour enrouler Gabriel de dans.
Il prit son visage entre ses mains et lui sourit il voulait mémoriser ce visage car l‘heure de partir et de ce débarrasser du corps était venu.

"Je vais devoir partir cacher le corps. Je t’en pris appel moi demain au numéro que je te donne."

Il alla cherche le numéro écrit sur un papier et lui tendit
Il l’embrassa avec passion. Maintenant il devait partir. Mais la seule chose qu’il réussit à faire c’est le prendre dans ses bras.

"Dis moi de partir je me sens pathétique…"