~¤ Akiro Adachi ¤~

IDENTITY
• Nom : Adachi

• Prénom : Akiro

• Surnom : Aki

• Âge : 17 ans

• Date de Naissance : 12 septembre

• Nationalité : Japonaise

• Niveau Social : Fils d’un comptable

• Statut Social : Célibataire

• Métier : Employé de l’Hypnotic Poison (serveur au bar)


INSIDE OF YOU
• Uke, Seme ou Ambi ? Uke

• Son plus grand rêve ? Partir, loin. Devenir l’oiseau qu’il n’a jamais pu être.

• Sa plus grande peur ? Devoir un jour revoir son frère et surtout la rancune qui hante ses iris quand il pose son regard sur lui. Également, il a peur de ne jamais ouvrir ses ailes.

• Relations Familiales : Très tendues, ou plutôt presque inexistantes. Son père le considère toujours comme son fils, quoi que quelque peu distant, tandis que son frère ainé le rebute complètement et il en va de même pour son frère âgé de 4 ans de plus.

• He loves/he hates : Il aime les couches de soleil, regarder le soleil décliner lentement vers l’horizon, teinter le ciel de couleurs de feu. S’étendre sur l’herbe et regarder. Il adore les pâtisseries et ce, sous toutes leurs formes, mais malgré ce pêché mignon, il sait s’arrêter, de la sa carrure. La liberté, l’impression d’être libre et de ne pas être attaché sans cesse les rendent joyeux. Avec les années, il a aussi apprit à aimer la solitude. Se retrouver seul ne lui fait pas peur, bien au contraire. Il ne déteste pas se retrouver en compagnie de d'autres personnes, mais la solitude et le silence resteront toujours deux choses qu,il apprécit beaucoup. Regarder les autres sourire, savoir qu’il sourit lui-même le rend enjoué. Il est brillant et dit franchement ce qu’il pense quand la situation le lui permet, deux choses qu’il apprécie chez lui. Le respect est en tout temps une valeur qu’il se doit de respecter, donc quand il voit un être incapable d’avoir du respect envers un autre, cela le met en colère. Pour certain, les araignées, les serpents, les espaces clos les terrifient, lui, ce sont les orages. Le bruit du tonnerre l’effraie, tellement qu’il en tremble. Bien entendu, il déteste au plus haut pointson frère. Il le déteste d,avoir corrompu Satoshi, de l'avoir frappé, d'avoir fait de sa vie un enfer pendant longtemps. Même aujourd'hui il lui arrive de penser à lui, cela ne fait qu'allumer penant un instant dses yeux d'une lueur de rancune.

• Signe(s) Particulier(s) ? Le tatouage d’en phénix, les ailes grandes ouvertes, entre les deux omoplates.

TELL ME YOUR STORY

12 septembre

Un cri, le cri d’un enfant découvrant enfin le monde dans lequel on venait de le plonger.

12 septembre

Les regards qui auraient du le contempler avec stupéfaction ne l’observaient pas à ce moment. Tous les regards qui auraient du lui être attribués étaient tournés vers une autre vision, la vision d’une femme mourante. Avec sa naissance, Akiro amenait dans la mort celle qui l’avait porté en son sein pendant de si longues semaines. Akiro amenait une femme qui avait donné la vie à 2 autres garçons déjà âgés de 4 et 10 ans.

Le jeune homme ne fut donc pas accueilli comme un miracle au sein de sa famille, mais plutôt comme une malédiction. Le fils qui avait tué sa mère, une mère qui ne méritait pas de terminer ainsi sa vie. Ses frères, en particulier son aîné, Masaki, ne l’accepta pas comme son jeune frère. Assez vieux pour comprendre que la naissance d’Akiro avait causé la perte de sa mère, il lui en voulu, et encore aujourd’hui, ce sentiment est toujours présent. Satoshi, son frère plus vieux de 4 ans, s’imprégna de la rancune que Masaki vouait au plus jeune des trois. Son père, malgré qu’il fût atteint autant que les autres, voir même davantage, l’accepta comme il se devait, sans toute fois avoir la même flamme qui s’allumait dans son regard quand il regardait ses autres fils.
Il alla comme tous les enfants à l’école quand le temps arriva. Ce fut le seul endroit où il se sentit enfin à sa place, le seul où on ne semblait pas le regarder avec un regard vide. On ne le connaissait pas, on ne savait pas qu’il était un assassin.

L’école, un enfer.

Satoshi avait fait un enfer du seul lieu où toutes ses craintes avaient enfin été un fardeau de moins sur ses épaules. La rumeur de la mort de sa mère se répandit bien vite dans le lieu d’enseignement. Bien entendu, une rumeur un peu déformé de la réalité. Satoshi avait succombé définitivement sous tous les arguments que leur ainé lui avait dits. Il portait la même haine que Masaki portait en lui, une haine sans fin envers Akiro.

21 mai

Date à lequel le jeune Akiro découvrit le vrai sens du mot souffrance. Ses deux frères avaient maintenant passé l’âge pour quitter la demeure familial, ce qu’ils avaient fait sur le champ, ce qui enchantait Akiro au plus haut point. Un an sans revoir Satoshi, quatre ans sans avoir revu Masaki. Il était enfin devenu un jeune garçon comme les autres. Il avait réussit, après quelques années dans son école à se faire des camarades, de vrais amis. Son père restait toujours distant avec lui, voir même davantage que quand il était plus jeune, mais il s’en souciait à présent moins. Il avait 14 ans. Il ne pensait plus qu’à vivre la vie que ses frères lui avaient volée jusqu’à présent.

21 mai

Il rentrait après le couché de l’astre solaire comme il en avait souvent l’habitude. Après chaque journée où il pouvait se le permettre, après les cours, il se rendait dans un parc à deux kilomètres de sa demeure et attendait.
Il attendait le couché du soleil.
Il patientait, étendu dans l’herbe, fixant le ciel, que le soleil décline lentement. Il observait toutes les teintes dont le ciel s’appropriait. Quand la lune venait prendre la place de son frère et que les étincelles venaient, il se décidait enfin à partir. Mais cette fois par contre, il ne pensait pas revenir à la maison avec un invité. Son père n’était pas présent, comme bien d’autres soirs. Son travail prenait de plus en plus de place. Il était maintenant comptable dans une nouvelle compagnie bien plus importante que l’ancienne. Ce ne fut donc pas un choc pour Akiro de se retrouver seul. Ce fut par contre une douche glacée qui le cloua sur place quand il vit une silhouette assit dans le noir complet de la sale à diner. Il ne lui fallu que quelques secondes pour comprendre de qui il s’agissait, que quelques secondes pour avoir peur, quelques secondes pour comprendre qu’il l’attendait lui.

« Ma… Masa… »

Il n’arrivait plus à prononcer ce nom. La peur le figeait sur place. Il avait voulu fuir. Masaki c’était levé, plus grand que dans ses souvenirs. Son regard croisa celui de son aîné, cruel, froid, vide. Il eut juste le temps de le croiser, qu’un poing venait couper sa respiration, qu’un autre venait s’abattre sur son visage. Plié en deux, il avait regardé son frère, les yeux rempli de larme de douleur. De nouveaux coups étaient venus pleuvoir. Des nouvelles décharges de souffrance.

« Masaki arrête! »

« Souffre autant qu’elle, souffre autant que tu nous as fait souffrir espère d’assassin! »

« S’il te plait… arr…arrête… »

Son frère l’avait laissé, gisant sur le plancher, le visage couvert de sang et de larmes, plié en deux, suppliant qu’on l’aide.

17 août

Il partit à son tour. Sans demander quoi que ce soit à son père, il partit. À l’aide des quelques boulots qu’il avait accomplit un peu partout, il se trouva un petit appartement qui lui convenait tant bien que mal. Son adresse demeura un mystère pour son père. Jamais il ne lui dit où il avait enfin trouvé refuge. Seul ses amis de longue date savaient où ils pourraient le trouver, les seuls qui avaient réussit à lui remonter le moral, les seuls qui avaient vraiment été là pour lui. Il venait enfin de sortir de son œuf, il ne lui restait plus qu’à ouvrir ses ailes pour de bon. Le jeune garçon apeuré et malmené par ses frères était enfin devenu un homme. Il restait marqué psychologiquement, mais il ne s’en souciait plus. Personne ne le retrouvait, il ne reverrait plus jamais ses frères. S’il les croisait dans la rue, seraient-ils capable de reconnaître leur jeune frère? Il n’avait plus rien du petit enfant qu’il avait été. Son corps svelte et musclé n’était plus celui, chétif et frêle qu’il avait été. Ses cheveux d’ébène avaient allongés, lui donnant un air mystérieux entourant deux piercings à son oreille gauche. Son visage, rondelet, c’était étiré, ses traits affinés. Son corps avait prit de la hauteur, dépassant le 1m80. Il avait troqué ses vêtements sans grand valeur pour d’autres sombres et élégants. Mais surtout, ses yeux ne trahissaient plus la peur. Il y brillait maintenant une grande assurance et une envie de vivre sans limite. Jamais ils ne le reconnaitraient.

Peut-être étais-ce justement pour ces détails qu’il avait maintenant un nouvel emploi…




REALITY
• Nom/Pseudo : Minou!!!

• Âge : 16 ans

• Où avez-vous trouvé ce forum ? Et bien je cherchais, je cherchais encore et encore un bon forum où je pourrais avoir du plaisir quand, BOUM!!! Je suis tombé sur ce forum.

• Quel est votre avis dessus, avez-vous des suggestions ? Et bien, je le trouve intriguant, ce qui me motive encore plus à le découvrir. Suggestion??? Et bien je dirais que non pour le moment, ou peut-être un petit coin pour les employés. M’enfin c’est ma suggestion.
*Pas taper, s’il vous plait!*

• Code règlement : Code Bon !

Voilà, c'est ajouté.