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.RPG Yaoi classé NC-17 : 10 lignes min par post.
 
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 Katsuo Nogushi

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Katsuo Nogushi Empty
MessageSujet: Katsuo Nogushi   Katsuo Nogushi EmptyLun 29 Déc - 23:09

IDENTITY

Nom : Nogushi
Prénom : Katsuo
Surnom : Tsu ou Kat
Age : 25 ans
Date de Naissance : 12 Avril 1983
Nationalité : Japonaise
Niveau Social : Friqué, bien comme il le faut
Statut Social : Célibataire
Métier : Il travaille pour le chef d’une famille Yakuza. Il est en quelque sorte le numéro 2 du clan.


INSIDE OF YOU

Uke, Seme ou Ambi ? Seme

Son plus grand rêve ? Faire le tour du monde
Sa plus grande peur ? Crever

Relations Familiales : Sa vraie famille, il ne la connaît plus. Ou plutôt, il l’a oublié. Katsuo était l’aîné d’une famille de trois enfants, qu’il a abandonné à l’âge de 15 ans. Ses parents n’étaient pas très riches, mais il a tout de même vécu une enfance chaleureuse. A 17 ans, après avoir fugué et fait endurer à ses parents les pires coups qu’un adolescent puisse faire, Katsuo a délaissé sa famille pour une autre, celle des Yakuzas. Sa nouvelle famille, ce sont eux.

He loves/he hates : Katsuo est un peu comme tous ces hommes qui ont du pouvoir et de l’argent, il aime le luxe et il apprécie ne se refuser rien. Jeune et vif, il est impensable pour Katsuo de ne pas faire la fête. Et dieu sait à quel point il sait bien la faire ! Il a d’ailleurs tendance à ne s’accorder aucune limite sur ce sujet-ci. Tout ce qui touche la luxure et les plaisirs charnels, il adore et jamais il ne s’en privera. Et son insouciance le pousse toujours à tout faire dans l’excès. C’est que lorsque monsieur fait quelque chose, il ne le fait pas qu’à moitié !
Il y a énormément de choses qui lui tiennent à cœur, à commencer par la musique. Katsuo est un véritable fervent du vieux rock qui a bercé son enfance et l’adolescence de ses parents. Il pratique d’ailleurs de la basse, mais il n’a plus vraiment le temps d’y jouer.
On ne peut pas non plus nier que ce jeune japonais aime se livrer à la débauche et à la défonce, comme tout bon jeune bien friqué qui se respecte. Il ne passe pas une soirée sans s’envoyer en l’air, se mettre minable ou se défoncer.
Il existe aussi des choses bien plus futiles qu’il apprécie, comme l’orage et la pluie, la ville plongée dans les mouvements nocturnes, la fumée de cigarette qui s’échappe des lèvres d’inconnus, la douceur du miel et les bougies parfumées.
En revanche, si il y a bien quelque chose que Katsuo ne supporte pas, c’est qu’on le toise. Voyez-vous, monsieur est tout de même légèrement orgueilleux et il a horreur qu’on le sous-estime du fait de son jeune âge. Mais globalement, il y a peu de choses que Katsuo n’aime pas, mise à part ces gens faux qui prétendent être quelqu’un ou savoir faire quelque chose alors qu’il n’en est rien.

Signe(s) Particulier(s) ? Un tatouage propre à son clan situé juste au dessus du cœur.


TELL ME YOUR STORY

Il y a eut ma naissance tant attendue. 12 Avril 1983. Je suis né à Tokyo, dans un quartier dont je ne me souviens plus le nom. Ca n’a pas trop d’importance de toute façon. Il y avait ma mère et puis mon père, de petits commerçants sympathiques, peut-être un peu trop d’ailleurs mais au fond, c’étaient des gens biens. Deux ans et quatre ans après moi, il y a eut mes deux soeurs, toutes les deux un peu trop niaises, remarquez ce n’est pas étonnant, ce sont des filles après tout. J’étais un très bon élève à l’école, mais ça n’a pas duré. J’aimais écouter en cachette les vieux vinyles de mon père et j’adorais m’asseoir à côté du piano de la maison lorsque ma mère jouait du Chopin et du Beethoven. J’étais sage à l’époque... à l’époque.

Il y a eut l’année de mes douze ans où nous avons déménagé à Shinjuku, dans une plus petite maison parce que mes parents ne pouvaient plus payer le loyer de l’ancienne. Ma mère a pleuré, je me souviens. Elle a toujours eu tendance à trop s’attacher aux choses matérielles. Moi je m’en foutais, et la seule chose qui me vient à l’esprit, c’est que j’avais trouvé ma nouvelle voisine très jolie et que la nouvelle maison était vraiment moche.

Il y a eu aussi mon entrée dans ma nouvelle école, et j’ai eu du mal à m’intégrer. Je n’étais pas vraiment très bavard et c’est là que mes résultats scolaire jusque-là plutôt brillants ont considérablement chuté. Pour mon anniversaire, mon père m’a offert sa propre basse et m’a aussi transmis par la même occasion son doigté agile. J’ai rêvé de faire partie d’un groupe de musique.

Il y a eu l’année suivante où j’ai commencé à traîner avec les mauvaises personnes, disait-on. Des garçons qu’on considérait comme des voyous, infréquentables et pourtant, je les ai fréquenté. J’ai commencé à grandir dans les rues, avec eux, et l’autorité de mes parents ne me touchaient déjà plus. J’ai aussi rencontré la fille de mes rêves. Elle s’appelait Nana. Elle était belle, pire qu’un ange et son arrogance m’a énormément influencé. Je suis rentré dans la bande et c’est là que la crise d’adolescence a fait souffrir mes pauvres parents. Je leur en ait fait voir de toutes les couleurs, et surtout du noir. Je n’étais qu’un gamin à l’époque. 13 ans, ce n’est pas énorme quand on voit tout le chemin qu’on doit encore parcourir pour se retrouver comme ces vieillards, assis sur les bancs des jardins publics, le visage buriné par le temps et la pauvreté. Un jour je serai riche.

Il y a eu ce jour où elle m’a quitté. J’avais 15 ans, elle en avait 16. Nous avions fait les quatre cent coups ensemble. Oui c’était Nana. Et je revois encore ses yeux perçants et ses lèvres qui me fracassent quand elle me dit qu’elle ne veut plus de moi. Je la vois qui s’enfuit dans la nuit, et moi qui ne peut pas la rattraper. Je n’ai pas osé, tout simplement. Mais j’ai gardé dans ma mémoire le doux parfum épicé de son cou. J’ai continué à traîner dehors, avec la bande. On a fumé, on a bu, on a volé des voitures et on a aussi finit au poste de police quelques fois. Mais mes parents ont beau m’engueuler, je n’écoute rien. Plus rien. Je pense encore à elle, à son arrogance et son audace qui ont gravé son nom sur mon cœur. Et ce chagrin d’amour m’a poussé vers d’autres gens. Elle m’avait pourtant offert ses yeux, son corps et son âme. Alors je découvre d’autres yeux, d’autres lèvres et d’autres corps. Je joue toujours de la basse, et avec les potes, entre deux, trois joints qu’on se fait tourner, on pense peut-être à monter un groupe.

Il y a eu cette nuit d’été en 1998 où j’ai décidé de partir. Ils n’ont plus rien à m’offrir mes vieux parents, et au lieu de s’arracher les cheveux à essayer de me remettre dans le droit chemin, ils devraient plutôt s’occuper de mes deux soeurs, qu’elles ne prennent pas la même voie que moi. J’ai pris mon sac, et j’ai porté ma basse sur le dos, comme la carapace d’un animal qui ne pourrait s’en séparer. J’ai rejoins les potes. On squatte des endroits désaffectés, des vieilles maisons abandonnées, on rit beaucoup et on est souvent défoncé. L’arrogance et l’insouciance que Nana m’a insufflé me permet de survivre. Je ne pense plus à elle, elle a quitté mon cœur pour toujours mais son parfum reste pourtant collé à ma peau. J’ai 16 ans passé. Je n’ai plus froid aux yeux et mon courage a fait mon nom. Je mène la meute un peu partout et on aime bien traîner à Kabuchiko.

Il y a eu cette année là, où j’ai à nouveau quitté une famille pour une autre. J’avais rencontré un gars dans un bar, un soir. Il s’appelait Shiro Takeda, mais je me suis rendu compte plus tard que ce n’était pas son vrai nom. Il m’a prit sous son aile. Durant une année entière, jusqu'à mes 18 ans, j’ai beaucoup sympathisé avec ce type, jusqu'à ce qu’il me considère comme son fils, vu qu’il n’avait pas eu la chance d’en avoir. Je suis entré dans leur clan, et il m’a fait une place au sein de la grande famille. J’ai vite compris qu’avec ces gens là, il faut être réglo et surtout, avoir du culot si tu ne veux pas te faire marcher sur les pieds. Pendant deux longues années, j’ai appris le boulot. Tout ce qu’il fallait faire, tout ce qu’il fallait savoir et ne pas savoir. Les règles, les ancêtres, les alliés et les ennemis. J’apprend très vite, toujours, et je n’oublie jamais rien.

Et puis enfin, il y a ce jour où je suis accepté. Un tatouage, juste au dessus du cœur, qui jure fidélité et acharnement. Je suis l’un des leurs, et plutôt bien placé. Même si je suis le plus jeune, je n’ai pratiquement que des petits frères, mise à part mon père. Le chef, celui qui donne les ordre et à qui on a promis de faire de la prison pour lui si il le faut. Les Yakuzas sont une famille très soudée, et si tu t’attaques aux petits frères, tu auras affaire aux aînés. A moi.
La vie n’est pas si facile au début, mais je me fais vite un nom dans ce monde de brute. Mon arrogance et ma fierté me lève très haut. Je deviens riche et je passe mes soirées à boire, à trinquer et à fumer. Dans mon monde à moi, on a pas le droit de se droguer. Mais le patron ferme les yeux pour moi, car je fais un sacré bon boulot.

Il y a ces années, après mes 20 ans, où je côtoie pour la première fois ce gigantesque palace. Ce n’est pas la première fois que je goûte à la chaire masculine, mais je reste tout de même sur le cul devant toutes ces bombes sexuelles qui pourraient bien me faire bander rien qu’en les regardant. Ici, c’est le paradis des riches. Je suis encore loin d’être comme ces vieux connards qui traitent ces gens comme de la merde. Je profite comme il le faut de ces jeunes qui s’offrent à nous sans jamais vraiment m’offrir moi-même à eux. Certains soirs je suis tellement défoncé que je passe simplement ma soirée à mater les strip-teasers, et bon dieu que j’aime ça. Sérieusement, il ne faut pas me prendre pour un pervers. Non je n’parlais pas de ça. Je disais simplement que j’aime être défoncé et les regarder. Quelque part, certains sont inaccessibles et j’aime ce sentiment d’insaisissabilité. Ils me regardent, avec provocation ou indifférence, et moi je reste là dans mon fauteuil, la clope pendue aux lèvres. Je gobe, complètement perché.

Aujourd’hui j’ai 25 ans. Je suis un habitué de ces lieux qui me plaisent tant et de ces beautés fulgurantes qui sont loin de me laisser indifférent. Je dois avouer que ma réputation m’a rendu un peu plus orgueilleux, mais je reste toujours le même garçon qui a quitté ses parents à l’âge de 15 ans. Arrogant et téméraire, imprudent, et surtout, surtout pugnace comme n’importe quel félin affamé. Tous ici, connaissent mes yeux noirs, mystérieux et fuligineux qui guettent les proies dociles et lascives. Je suis Katsuo, mais appelez moi Tsu, je préfère.


REALITY

Nom/Pseudo : Keijia, ou Lile, comme vous voulez.
Âge : 17 piges bien passées
Où avez-vous trouvé ce forum ? Top-Site
Quel est votre avis dessus, avez-vous des suggestions ? J’aime bien le contexte, étant moi-même une grande fervente de Yaoi. Mais je pense que le design pourrait être bien plus éblouissant. Par exemple au niveau de la bannière, les personnages ne sont très bien découpés...
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Hiraku Takada
[A] ~ Hôte N°1 ~ Weak but Agressive Boy.
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Localisation : Mmmh... dans ton lit, peut-être ?
Date d'inscription : 26/12/2008

Katsuo Nogushi Empty
MessageSujet: Re: Katsuo Nogushi   Katsuo Nogushi EmptyLun 29 Déc - 23:19

    Bienvenue sur HP !

    Très bon - non, excellent *-* - choix d'avatar =P
    La fiche étant très bien présentée et très agréable à lire, je valide sans aucune hésitation !

    Have Fun =)
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Katsuo Nogushi
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